OoC Partners facilite la prise de recul,  accompagne dans le cheminement : avec les ateliers Regards d’expats, certaines femmes expatriées se sont ainsi re-sociabilisées, ont redessiné des projets, retrouvé ou changé de métier,…

Objectif de Regards d'expats

« Expat » vient du grec « exo », en dehors et « patrida » le pays… Donc les femmes expatriées ne sont pas juste des femmes d’expatriés…

Quand on fait face à des repères différents, une perte de contrôle est possible, une intégration volontaire risque de venir lisser une partie de soi…

Avec des regards différents, on peut se retrouver, décoder ses envies et les mettre en œuvre pour se sentir pleinement en vie dans sa patrie d’accueil…

D’Ex pas triées, sensibles ou sans cible, elles deviennent créatrice de leur nouveau monde !

3 ateliers de coaching en groupe, étalés sur 3 mois, pour proposer un espace au féminin, convivial et bienveillant, pour se poser et se voir différemment.

6 promotions à Turin

co-créés avec Anne Ospital, de Kaolin

#turinaccueil #expatriation

 

Vision d’une femme d’expatrié

A l’arrivée dans le pays d’accueil, elle devient le référent familial sur lequel conjoint et éventuel(s) enfant(s) s’appuient.

Elle soutient les autres, remplit leurs manques, mais se vide petit à petit, s’oublie. Elle n’est plus que  la femme d’expatrié et n’est plus la femme active qu’elle connaissait.

En plus, elle n’a plus forcément le soutien et la reconnaissance de ses proches connus dans ses expériences antérieures. En effet, elle a de la chance : l’Italie, c’est un beau pays : de quoi se plaint-elle ? D’un sentiment parfois de détresse, elle finit par « devoir » ressentir de la culpabilité… C’est un comble !

Comment profiter de ces années « hors les murs », où elle peut avoir finalement le sentiment de se perdre ? Comment reprendre le contrôle pour faire des choix en lien avec ses aspirations ?

Vision d’une femme expatriée

Par choix, par amour ou par défi, elle s’est retrouvée dans son pays d’accueil parfois avec un conjoint local… Pour s’intégrer plus rapidement, elle a pu même décider d’éviter les communautés francophones afin d’apprendre plus vite la langue, les us et les coutumes… au détriment parfois d’une partie de son identité…

Après quelques années, elle se rend compte d’un manque, d’un oubli d’une part d’elle-même…  Comment reprendre le contrôle pour faire des choix en lien avec ses aspirations et sans renier ses racines et ses besoins ?